La VR en terre hostile
" La VR " pour la Vache Rose
À partir d'aujourd'hui, j'emploierai (parfois) le terme " La VR ", surtout dans les titres et ce, parce que c'est plus court, et apparemment dans cet univers cybernétique-ment impitoyable, il faut ABSOLUMENT faire court...
Au-delà du fait que " les gens jugent un livre à son titre et à sa couverture ", il faudrait en plus qu'ils ne soient pas trop gros (le livre et le titre) !
Alors, si je ne veux pas être la seule à lire mes propres articles (même si je ne les trouve pas si mal comparés à d'autres), je crois qu'il faut que je m'adapte bon gré, mal gré, à ce far-west...
Bienvenue en terre hostile...
Par ailleurs, loin de moi l'idée que tout le monde soit pareil, beaucoup de gens ne jugent pas un livre d'après son titre, ni sa qualité en fonction de sa taille, heureusement !!!
De plus, un de mes nombreux livres préférés est " Le joueur d'échecs " de Stefan Zweig et il ne compte que 95 pages en format poche, et là encore, je peux vous garantir que qualité ne rime avec quantité que dans la consonance (lien à la fin de l'article pour une lecture gratis).
Cela dit, la majorité l'emporte, car il est très facile qu'un bon article, au titre lourd, tombe dans les oubliettes, ou se noie dans la masse des échanges cyber-frénétiques.
Ce serait dommage que ce ne soit que, à cause du poids de son titre.
Et vu le nombre d'articles dénués de qualité qui circulent ou font le buzz uniquement grâce (ou à cause) de leur titre...
Même si tout le monde s'accorde à dire que les apparences sont trompeuses... pourtant l'habit fait le moine dans la tête de la majorité... malheureusement...
Aussi, ne voyez surtout pas dans le " La " de La VR, un quelconque " syndrome Alain Delon " (que j'apprécie du reste), c'est juste que, je n'ai pas non plus envie d'être poursuivie pour plagiat, si je n'utilisais que " VR ", même si j'erre dans un monde virtuel...
(référence à mon article sur la réalité virtuelle publié récemment : http://lavacherose.over-blog.com/2015/06/hommage-a-vincent-van-gogh-et-mac-cauley-de-la-vache-rose.html).
Le titre ne fait pas seulement référence à cette adaptation oblige, mais aussi à différents événements survenus dernièrement.
Pour info., le premier titre était :
" La vache rose victime de la mode et des réseaux sociaux antisociaux ".
Maintenant j'en suis sûre, vous comprenez mieux ce que je voulais dire en ce qui concerne la longueur du titre...
Bilan d'un mois de surf
Cela fait un peu plus d'un mois maintenant, que j'ai démarré ce blog, et je vais, juste pour le plaisir, remettre ici la toute première citation, publiée le 3 mai dernier... elle tombe à pic, l'explication coulera de source...
Tous ces regards qui me mangent...
Ha, vous n'êtes que deux ?
Je vous croyais beaucoup plus nombreuses.
Alors, c'est ça l'enfer. Je n'aurais jamais cru...
Vous vous rappelez : le soufre, le bûcher, le gril...
Ah ! Quelle plaisanterie.
Pas de besoin de gril : l'enfer c'est les autres.
Entre enfer et nuages...
Réseaux sociaux antisociaux
Pour commencer, voulant titrer cet article ainsi, j'ai fais une petite recherche car même si les mots sont à tout le monde*, maintenant il y a des vetos (mon généraliste prend un accent !) et autres protections de partout, de nos jours tout peut s'acheter, et comme je sors de ma cambrousse...
Donc, afin d'éviter de mettre les sabots dans la gadoue, encore une fois, suis partie mener l'enquête...
Moi, qui en avait déjà long à dire sur ma courte balade en cette terre inconnue, je peux vous dire, que cet article vient de s'allonger et moi... tombée des nues... dans la gadoue, jusqu'au cou...
Voici juste un extrait de 2 des nombreux articles trouvés, concernant les réseaux antisociaux, l'article du Monde date de l'an dernier, l'autre, de France 4 n'est pas daté (?) :
L'heure des réseaux antisociaux
M le magazine du Monde | 11.04.2014 à 11h11 • Mis à jour le 12.04.2014 à 18h58 | Franck Berteau
Pour contrer les effets invasifs de Twitter et de Facebook, de nouvelles applications proposent de faire le tri parmi ses amis.
Verdâtre, la carte de la ville s'affiche sur l'écran du téléphone. Une icône représentant un visage humain progresse dans les rues et se rapproche d'un point lumineux qui représente le détenteur de l'appareil. Ce dernier, pour éviter la rencontre imminente, bifurque, tourne à gauche au lieu de continuer tout droit. Sauvé ! Lancée le 15 mars, l'application Cloak (« cape » ou « masquer » en anglais) résume sur sa page Internet le service qu'elle propose : éviter « tous ceux sur qui tu préférerais ne pas tomber ».
Une semaine après sa sortie, Cloak avait déjà recruté 100 000 utilisateurs. Les importuns sont repérés grâce à leurs données de géolocalisation puisées sur la plateforme de partage de photos Instagram ou celle de recommandation de lieux Foursquare.
LA TENDANCE DU REPLI SUR SOI
Conçue par deux Américains, Brian Moore et Chris Baker, cette application surfe sur une nouvelle tendance qui ressemble à un effet boomerang face aux conséquences invasives du Web social : le repli sur soi.
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Créées respectivement en 2012 et 2013, Split (« rupture ») ou Hell is Other People (« l'enfer, c'est les autres ») proposent les mêmes services que leur héritier Cloak. Dans un autre style, Hate With Friends (« haine entre amis ») permet de découvrir par Facebook lesquels d'entre eux vous détestent, quand Kill Switch (« dispositif d'arrêt d'urgence ») offre d'effacer du site communautaire toutes les traces de l'ancien être aimé.
L'ANONYMAT ET SES EFFETS PERVERS
« Les outils antisociaux se démocratisent », assurait Chris Baker au Washington Post le 17 mars, décrivant Facebook et Twitter comme de vieux ascenseurs dans lesquels les gens s'entassent. « Vous verrez de plus en plus d'outils semblables dans les mois à venir », prophétise le cofondateur de Cloak.
...
LES RÉSEAUX ANTISOCIAUX SONT-ILS UNE ARNAQUE ?
HIGHTECH
Dans un univers hyper connecté, certaines applications nous promettent de nous séparer de nos amis encombrants. Mais ces réseaux sont-ils vraiment « antisociaux » ?
Impossible d’y échapper. Nous sommes tous soumis à son diktat. Nous sommes tous « connectés ». Facebook, Twitter, Instagram, Google +… Les réseaux sociaux pullulent pour ne plus laisser aucun espace d’asociabilité, c’est-à-dire d’espace libre, sans société, sans amis plus ou moins réels avec qui échanger en permanence.
Les applications « Split » et « Hell is other people » (« l’enfer c’est les autres »), l’ont bien compris en lançant, en 2012 et 2013, les premiers réseaux « antisociaux». En réaction, justement, à cette hyper connectivité. Ils permettaient alors d’éviter vos connaissances en analysant les localisations de vos contacts Foursquare. De quoi passer une après-midi tranquille dans la rue sans croiser un collègue de bureau ou une copine gavante.
Depuis, l’expression « réseau antisocial » a fait le buzz. Notamment grâce à Cloak lancée le 15 mars dernier (100 000 utilisateurs en une semaine, tout de même), qui fonctionne sur le même principe. L’appli se sert de vos données contenues dans vos comptes Instagram et Foursquare. Charge à vous, ensuite, de dire qui vous ne voulez pas croiser et de l’épingler comme tel.
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Jérémy Collado
Ce que cela m'inspire...
J'hallucine...
Déjà avec des noms pareil...
D'ailleurs trouvant certaines traductions données un peu légères quand elles ont le mérite de figurer, je fais un petit complément (et une infidélité à mon petit ami Robert) :
- Cloak « cape » ou « masquer » = grande cape, manteau, cacher, dissimuler, masquer, vestiaire, clandestin, dissimulation, en expression : être couvert du voile du secret, ou cache-poussière...
- Split « rupture » = couper, fendre, diviser, séparer, fissure, déchirure, rupture, fente, gerçure, scission...
- Hell is other people = tout le monde est d'accord : l'enfer c'est les autres.
- Hate With Friends « haine entre amis »... No comment !
- Kill Switch « dispositif d'arrêt d'urgence », la traduction de cette expression est correcte, et utilisée dans des cas graves (bombes qui n'explosent pas grâce à la " sécurité "...), mais pris à part kill signifie bien tuer et switch c'est remplacer, échanger, intervertir, c'est aussi l'interrupteur, le commutateur, l'échange..., je traduirais plutôt par " tuer l'échange, la connexion "... (les relations humaines ?).
Ça craint...
Je dois avouer que je n'ai pas été plus loin dans mes recherches sur ce thème, qui me révulse déjà suffisamment...
Je ne sais pas si ça fonctionne toujours ou pas et si beaucoup l'utilisent... mais bon, s'il y avait déjà 100.000 personnes au bout d'une semaine, et vu que l'humain obéit aveuglément à son instinct grégaire, j'ose croire... qu'ils sont beaucoup plus nombreux aujourd'hui, tant les abonnés que les applications du genre...
Cela remet en question tout le reste de mon article...
Moi qui venait avec mes gros sabots et mes petits bobos du système...
Trouvant d'ores et déjà cette terre hostile avant même d'imaginer ce genre de choses... la belle (vache) au bois dormant s'est réveillée chez Alice au pays des morte-payes !
La liberté consiste à faire tout ce que permet la longueur de la chaîne.
Sincèrement, je n'aimerais pas être amie avec des gens qui ont cette application, même si comme tout le monde, il m'est arrivé de ne pas vouloir croiser quelqu'un... et que la loi d'attraction a eu fait le reste (à force d'y penser ?)...
Mais de là à avoir une application pour clairement esquiver... c'est la " cerise sur le pompon ", pour rester polie.
Et à mon humble avis, ça en dit long sur la personne.
Et d'ailleurs, se demander... pourquoi ne pas vouloir les croiser ? Pourquoi esquiver ? Qu'aurait-on à se reprocher ?
Avec tous ces réseaux : les prétendus sociaux et les clairement antisociaux, de nos jours, le mot AMI (je ne parle pas du mot amitié) n'a plus aucune valeur, on en a des mille et des cents tout autour du monde, et on esquive ceux que l'on a au coin de la rue...
Je tiens à noter qu'en espagnol pour dire se faire des amis, ils emploient l'expression : " ganarse amigos ", qui littéralement signifie : " gagner des amis ".
De plus, tous ces amis virtuels, apparaissent d'on ne sais où et disparaissent entre deux clics...
La complexité des relations humaines est déjà bien grande, si on y ajoute le virtuel... c'est sans limites...
Les revers pervers de l'être humain est un tout autre débat, dans lequel je n'entrerai (presque) pas aujourd'hui... sinon cet article ne finirait jamais.
Je reviendrais un autre jour également sur mon bilan du mois, cette découverte et cet article ayant épuisé toutes mes ressources pour aujourd'hui...
Autant Oculus m'a fait voyager dans l'univers de van Gogh en 3D, dans l'univers de la réalité virtuelle, autant les réseaux sociaux virtuels me font voyager dans un monde aussi triste que réel.
Avant de clore ce thème... vient de tomber ce matin même sur un article traitant de la réalité virtuelle et du fameux casque dont je vous avais parlé dans l'article sur van Gogh... Il semblerait qu'au-delà du jeu, cela s'adresse également à l'univers du porno... Je n'en dirai pas plus, j'insère le lien à la fin de cet article (porno en virtuel testé par une journaliste espagnole qui raconte son expérience).
Ils sont forts... après séparer les gens dans la rue, maintenant ils les séparent dans le lit ! A quand une application qui ira travailler pour nous, voire faire nos besoins ?
Il sera possible (sais plus où j'ai lu ça...) d'ici quelques années de mettre tout ce que l'on a dans la tête dans un ordinateur...
Finiront-ils par entrer en nous et se mettre entre notre tête et notre cœur ?
Devra-t-on comme dit Pagny " vendre notre âme au diable puisque avec lui on peut s'arranger " ? (la chanson se trouve à la fin de l'article).
Avant / Maintenant
Source canadienne
Souvenirs d'enfance concernant les relations humaines
Dans les années 90, Hachette édite en livre de poche " Comment se faire des amis ", de Dale Carnégie (marque déposée depuis 1936).
Je ne sais plus comment j'ai eu vent de ce livre, mais l'on m'avait dit de ne pas tenir compte du titre, pouvant être rédhibitoire, et de lire le livre.
Je ne vais pas m'étendre pour dire que j'ai vraiment beaucoup aimé ce livre et c'est le seul, dans mon souvenir, où j'ai écrit quelque chose (d'habitude " j'aime pas ", c'est comme souiller pour moi).
A la fin du livre, j'ai noté :
" Malgré tous les moyens modernes de communication, l'homme a oublier une chose essentielle ... communiquer ".
Et je rejoindrais mon ami Nagui pour dire...
" Et oui, on le sait bien maintenant, dans communiquer, il y a commu ! "... (à cause de lui cette phrase me reviens toujours en tête lorsque j'entends ce mot !).
J'ai toujours le livre, et vais vous copier ici un extrait choisi, que j'aime particulièrement.
Pour ceux qui aiment lire, je ne saurait que trop recommander (vous trouverez un lien pdf, à la fin de l'article).
Il traite de toutes les relations humaines, familiales, professionnelles...
Extrait choisi :
" Comment corriger les autres sans vous faire détester "
Il suffit souvent de changer un mot de quatre lettres en un mot de deux lettres pour que l'échec devienne succès, pour modifier l'attitude des autres sans les offenser ni provoquer de rancune.
Bien des gens commencent par faire des compliments sincères, puis ils ajoutent un " mais " et terminent sur une critique. Par exemple, pour modifier le comportement d'un enfant qui néglige ses études : " Nous sommes vraiment fiers de toi, Johnny, tes notes sont meilleures ce trimestre. Mais si tu avais fourni plus d'efforts en algèbre, tes résultats auraient été encore meilleurs."
Il se peut que Johnny se sente encouragé jusqu'à ce qu'il entende le mot " mais ". Il peut alors douter de la sincérité du compliment. Ce dernier n'est là que pour mieux introduire la critique. L'éloge perdant sa crédibilité, il est fort probable que nous ne changerons rien dans l'attitude de Johnny envers ses études.
En revanche, en remplaçant " mais " par " et ", nous pourrions réussir à la modifier. " Nous sommes vraiment fiers de toi, Johnny, tes notes ce trimestre sont bien meilleures et, en poursuivant tes efforts, tu pourras relever aussi le niveau de tes résultats en algèbre."
Là, Johnny ne peut plus douter de la sincérité de l'éloge car ce dernier ne mène à aucune critique. Nous avons attiré son attention sur le comportement que nous désirons voir changer, et il y a des chances pour qu'il veuille se montrer à la hauteur de nos espérances.
Finir en pseudo légèreté virtuelle...
N'ayant pu me décider dans le choix des nombreuses images qui pouvaient illustrer ce thème, en voici davantage avec ce petit florilège d'images et de citations...
La majorité se passent de commentaires, beaucoup sont en français, et quelques unes en anglais et espagnol... je vous laisse gérer les traductions...
Et comme j'apprécie également la musique, j'ai ajouté 3 chansons qui entrent parfaitement dans le moule.
Finir en musique...
Ma liberté de penser de Florent Pagny, Antisocial du groupe rock Trust, et Dalida et Delon pour Paroles, Paroles (différente vidéo de cette chanson sur la page espagnole, aussi belle que celle-ci).
Quitte à tout prendre prenez mes gosses et la télé,
Ma brosse à dent mon revolver la voiture ça c'est déjà fait,
Avec les interdits bancaires prenez ma femme, le canapé,
Le micro onde, le frigidaire,
Et même jusqu'à ma vie privée
De toute façon à découvert,
Je peux bien vendre mon âme au Diable,
Avec lui on peut s'arranger,
Puisque ici tout est négociable, mais vous n'aurez pas,
Ma liberté de penser.
Prenez mon lit, les disques d'or, ma bonne humeur,
Les petites cuillères, tout ce qu'à vos yeux a de la valeur,
Et dont je n'ai plus rien à faire, quitte à tout prendre n'oubliez pas,
Le shit planqué sous l'étagère,
Tout ce qui est beau et compte pour moi,
J' préfère que ça parte à l'Abbé Pierre,
J' peux donner mon corps à la science,
S' il y'a quelque chose à prélever,
Et que ça vous donne bonne conscience, mais vous n'aurez pas,
Ma liberté de penser.
Ma liberté de penser.
J' peux vider mes poches sur la table,
Ca fait longtemps qu'elles sont trouées,
Baisser mon froc j'en suis capable, mais vous n'aurez pas,
Ma liberté de penser.
Quitte à tout prendre et tout solder,
Pour que vos petites affaires s'arrangent,
J' prends juste mon pyjama rayé,
Et je vous fais cadeaux des oranges,
Vous pouvez même bien tout garder,
J'emporterai rien en enfer,
Quitte à tout prendre j' préfère y' aller,
Si le paradis vous est offert,
Je peux bien vendre mon âme au diable,
Avec lui on peut s'arranger,
Puisque ici tout est négociable, mais vous n'aurez pas,
Non vous n'aurez pas,
Ma liberté de penser.
Ma liberté de penser.
C'est étrange,
Je ne sais pas ce qui m'arrive ce soir,
Je te regarde comme pour la première fois.
Encore des mots toujours des mots
Les mêmes mots
Je ne sais plus comme te dire,
Rien que des mots
Mais tu es cette belle histoire d'amour...
Que je ne cesserai jamais de lire.
Des mots faciles des mots fragiles
C'était trop beau
Tu es d'hier et de demain
Bien trop beau
De toujours ma seule vérité.
Mais c'est fini le temps des rêves
Les souvenirs se fanent aussi
Quand on les oublie
Tu es comme le vent qui fait chanter les violons
Et emporte au loin le parfum des roses.
Caramels, bonbons et chocolats
Par moments, je ne te comprends pas.
Merci, pas pour moi
Mais tu peux bien les offrir à une autre
Qui aime le vent et le parfum des roses
Moi, les mots tendres enrobés de douceur
Se posent sur ma bouche mais jamais sur mon coeur
Une parole encore.
Paroles, paroles, paroles
Écoute-moi.
Paroles, paroles, paroles
Je t'en prie.
Paroles, paroles, paroles
Je te jure.
Paroles, paroles, paroles, paroles, paroles
Encore des paroles que tu sèmes au vent
Voilà mon destin te parler....
Te parler comme la première fois.
Encore des mots toujours des mots
Les mêmes mots
Comme j'aimerais que tu me comprennes.
Rien que des mots
Que tu m'écoutes au moins une fois.
Des mots magiques des mots tactiques
Qui sonnent faux
Tu es mon rêve défendu.
Oui, tellement faux
Mon seul tourment et mon unique espérance.
Rien ne t'arrête quand tu commences
Si tu savais comme j'ai envie
D'un peu de silence
Tu es pour moi la seule musique...
Qui fit danser les étoiles sur les dunes
Caramels, bonbons et chocolats
Si tu n'existais pas déjà je t'inventerais.
Merci, pas pour moi
Mais tu peux bien les ouvrir à une autre
Qui aime les étoiles sur les dunes
Moi, les mots tendres enrobés de douceur
Se posent sur ma bouche mais jamais sur mon coeur
Encore un mot juste une parole
Paroles, paroles, paroles
Écoute-moi.
Paroles, paroles, paroles
Je t'en prie.
Paroles, paroles, paroles
Je te jure.
Paroles, paroles, paroles, paroles, paroles
Encore des paroles que tu sèmes au vent
Que tu es belle!
Paroles, paroles, paroles
Que tu est belle!
Paroles, paroles, paroles
Que tu est belle!
Paroles, paroles, paroles
Que tu est belle!
Paroles, paroles, paroles, paroles, paroles
Encore des paroles que tu sèmes au vent
A LIRE
Stefan Zweig
Le joueur d'échecs
http://www.fichier-pdf.fr/2012/08/21/seiweg-le-joueur-d-echec/seiweg-le-joueur-d-echec.pdf
Dale Carnegie
Comment se faire des amis
https://mtcmadagascar.files.wordpress.com/2013/07/comment-se-faire-des-amis.pdf
Le porno virtuel...
/http%3A%2F%2Flos40mx00.epimg.net%2Flos40%2Fimagenes%2F2015%2F06%2F10%2Flacorneta%2F1433963015_285231_1433963786_noticia_normal.jpg)
Sábado por la mañana, dos personas irrumpen en mi domicilio con una sospechosa maleta. No son testigos de Jehová. Tampoco vendedores de enciclopedias. Se trata de los relaciones públicas de una...
http://los40.com.mx/los40/2015/06/10/lacorneta/1433963015_285231.html
* Les mots ne sont pas à tout le monde...
Ayant fait une demande récemment à l'Académie française voici leur réponse...
Madame,
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No comment !